Des équipes de 6/7 personnes pour des rencontres chacune à leur rythme en liberté et dans le respect :)
Pourquoi « Shemà Sainte T » ?
parce que « shemâ Israël », « écoute Israël » : « écoute ste Thérèse ». Ecoute ton Dieu, Dieu s’adresse à toi, prête attention à ton frère, à ta soeur.
Dans la liberté
Chacun dit ce qui lui apparaît : on l’écoute ; on ne l’interroge que pour mieux entendre ce qu’il dit. Si quelqu’un se tait, on respecte son silence. Toute voie peut se vivre et se dire. On n’est pas dans la prétention doctrinaire : chacun peut oser sa propre pensée : respect ! On peut tout dire. On peut se taire. On considère la gravité et l’importance de ce qui se dit. Grand respect de la parole de l’autre, absence de débat : on dit ce qu’on a à dire, on écoute, on n’interroge que pour éclaircissements, pas par opposition. Accepter qu’il y ait chemin ; jusqu’au sens paradoxal de certaines attitudes, quand par exemple, l’abstention, la distance est une façon de s’approcher. Inventez ; il en restera toujours quelque chose, même si les essais successifs paraissent décevants.
Avec une règle
La discrétion : L’animateur demande à chacun des membres de s’engager à garder le secret absolu sur ce qui est dit ou fait dans le groupe. Il s’assure de l’assentiment de chacun. La ponctualité : Arriver à l’heure et rester jusqu’à la fin de la rencontre. La constance : S’engager à ne pas se sauver du groupe dans les moments difficiles. L’assiduité : Prévenir si l’on ne peut venir à une rencontre. La liberté : Personne n’est obligé de s’exprimer dans le groupe. Le non-jugement (luc 6,37) : Il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises émotions ou questions. Tout ce qui est vécu est acceptable, pourvu que l’on parle de soi et non des autres. Le partage : Le temps est réparti de manière à ce que tous ceux et celles qui le veulent puissent s’exprimer. Éviter les apartés deux à deux. Le respect du groupe : Si on a décidé de quitter le groupe en cours de cheminement, s’obliger à venir à la rencontre suivante pour faire ses adieux aux autres participants.
Avec un défit : à celui qui nous demande raison de l’espérance qui est en nous (1 Pierre 3, 15), indiquons le Christ ressuscité. Indiquons-le par l’annonce de la Parole, mais surtout en vivant comme des ressuscités. Montrons notre joie d’être enfant de Dieu, la liberté que nous donne la vie dans le Christ, qui est la véritable liberté, celle qui nous sauve de l’esclavage du mal, du péché et de la mort ! Regardons vers notre patrie céleste, nous aurons une nouvelle lumière et nous recevrons la force dans nos engagements et dans nos efforts quotidiens. C’est un service précieux que nous devons rendre à notre monde qui, souvent, ne réussit plus à élever son regard vers Dieu. Pape François,
Un document avec la Parole de Dieu est envoyé à l’équipe une fois par moi pour vous aider.
télécharger la plaquette descriptive avec sa première proposition des soirée ici