Ben oui, ces jours qui se ressemblent tous. On en oublie même quel jour de la semaine, nous sommes.
Prier en observant la beauté des choses… pas facile en ces jours maussades où rien ne se passe. Rendre grâce pour les gens que je rencontre, certes, mais je ne vois plus personne !
Bref, c’est le blues, pas la déprime, non, mais le temps passe, j’ai plus de temps qu’à l’habitude mais je n’arrive pas à faire ce que je pourrais faire…
Alors prier …

2 trucs
1 – Un air dans la tête
Vous savez, on écoute la radio pendant le petit déjeuner et un air de musique est diffusé, vous l’avez en tête pour la journée. Ou mieux, le chant de sortie de la messe de dimanche dernier vous revient en boucle.
Profitez de ça.
Chantez-vous une hymne entendue récemment, un chant de messe. Faites-le à tout moment. En allant faire les courses, en préparant la cuisine, pendant la pause entre deux réunions « zoomeuses ».
Ah zut, vous avez oublié les paroles ! Pourtant ce matin, vous les saviez par cœur. Pas grave, vous en créez de nouvelles à votre sauce. Dieu sait (c’est le cas de le dire) que tout le monde n’est pas grand poète ! vous tournez ces brefs instants en brèves prières.

2 – Relire son carnet d’adresse
Encore moins cérébral, mais là encore quelque chose de l’ordre de la mémoire. Mais « faire mémoire » cette fois. N’allez pas trop vite. Les noms défilent. Priez pour chacun. Rappelez-vous. Rendez grâce à Dieu si c’est plutôt un sourire. Intercédez si c’est plutôt un froncement de sourcil. Dégagez-le à la poubelle si c’est décidément trop mondain, et demandez pardon pour ça (et d’être mondain, et de dégager poubelle…) Priez pour chacun, ça ne veut pas dire forcément formuler une demande, mais évoquer son souvenir c’est mettre son souvenir dans l’évocation de Dieu que vous êtes en train de faire. C’est le poser là, aussi bêtement que vous l’êtes ; devant Dieu, enfin quelque part autour de Lui, vers Lui. Et si ça vous tente, puisque les liens sociaux, les contacts amicaux sont en vacances en ces temps, appelez-le. Votre contact, pas Dieu ! enfin tant que vous y êtes, Dieu aussi.

Vous allez me dire : bof, ce n’est pas vraiment prier, ça !
Certes. Qui pourra nous dire ce qu’est vraiment prier ??
Disons provisoirement que ça consiste juste à se laisser occuper par Dieu.

A bientôt dans la prière

P Bernard Klasen

Les Églises d’Orient l’appellent aussi « saint Martin le Miséricordieux ». Il est né en Pannonie, l’actuelle Hongrie, sur les frontières de l’empire romain où son père était en garnison. A 15 ans, il est soldat car la loi romaine obligeait les fils de soldats à s’enrôler dans l’armée. Il est muté en Gaule et c’est là, qu’à Amiens, il rencontre le pauvre grelottant à qui il donne son manteau  et dont il apprend durant la nuit que c’est le Christ qui lui a fait cette demande.

Il hésitait à devenir chrétien, il s’y décide enfin. Il quitte l’armée pour rejoindre saint Hilaire à Poitiers. Avec lui, il fonde le premier monastère des Gaules, à Ligugé, en Poitou.

C’est là qu’il sera enlevé par les habitants de Tours qui en font leur évêque. Mais l’ancien soldat devenu chrétien ne s’enfermera pas dans sa cité. Il évangélisera parcourant les campagnes jusqu’à sa mort, à Candes.

Moine-évêque missionnaire, Apôtre de la Gaule, Saint Martin est le premier saint à être vénéré sans avoir subi le martyre. Ses dernières paroles adressées à Dieu: (**) »Seigneur, en voilà assez de batailles que j’ai livrées pour toi. Je voudrais mon congé. Mais si tu veux que je serve encore sous ton étendard, j’oublierai mon grand âge. »
Martin, déjà de son vivant, eut un rayonnement immense qui se poursuit dans son culte après sa mort. De tous ses hauts faits, l’épisode du manteau donné au pauvre reste le plus éclatant, les membres du commissariat chargé de soutenir les militaires (nourriture, vêtement…) ne pouvaient trouver meilleur saint protecteur pour accomplir jusqu’au bout leur mission y compris en faveur du plus humble des soldats, comme s’il s’agissait du Christ.
…Martin conserve, dans son ministère d’évêque, la charité de sa première rencontre avec le Christ. Un jour qu’un pauvre entrait dans la sacristie de sa cathédrale au moment où il revêtait les habits pontificaux, Martin se défit de sa tunique et la lui offrit, au scandale de son pieux entourage…
– « c’est à l’occasion de ce trajet de retour que sur son chemin les arbres et les fleurs refleurirent malgré que ce ne fût pas le moment ce qui nous donna l’été de la saint Martin qui revient à chaque automne au moment souvent appelé par les médias l’été indien. »

 

En ce jour Prions pour demander de contempler en nos frères pauvres le Christ lui-même.

Et de le servir en servant nos frères et méditons l’Evangile pour répondre aux appels du Seigneur dans l’ordinaire de nos vies !

 

De l’Evangile selon Saint Matthieu – chapitre 25, versets 31 à 46

(31)“… Lorsque le Fils de l’homme viendra dans sa gloire,
avec tous les anges, il s’assiéra sur son trône glorieux.
(32) Toutes les nations seront rassemblées devant lui.

Il séparera les uns des autres
comme le berger sépare les moutons des chèvres :
(33) il mettra les moutons à sa droite et les chèvres à sa gauche.
(34) Alors le roi dira à ceux qui seront à sa droite :
« Venez, vous qui êtes bénis de mon Père ;
héritez le royaume qui a été préparé
pour vous depuis la fondation du monde.
(35) Car j’ai eu faim et vous m’avez donné à manger ;
j’ai eu soif et vous m’avez donné à boire ;
j’étais étranger et vous m’avez recueilli ;
(36) j’étais nu et vous m’avez vêtu ;
j’étais malade et vous m’avez visité ;
j’étais en prison et vous êtes venus me voir. »
(37) Alors les justes lui répondront :
« Seigneur,
quand t’avons-nous vu avoir faim,
et t’avons-nous donné à manger ?
ou avoir soif, et t’avons-nous donné à boire ?
(38) Quand t’avons-nous vu étranger,
et t’avons-nous recueilli ?
ou nu, et t’avons-nous vêtu ?
(39) Quand t’avons-nous vu malade,
ou en prison, et sommes-nous venus te voir ? »
(40) Et le roi leur répondra :
« Amen, je vous le dis, dans la mesure
où vous avez fait cela pour l’un de ces plus petits,
l’un de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait. »

(41) Ensuite il dira à ceux qui seront à sa gauche :
« Allez-vous-en loin de moi, maudits,
dans le feu éternel préparé pour le diable et pour ses anges.
(42) Car j’ai eu faim, et vous ne m’avez pas donné à manger ;
j’ai eu soif, et vous ne m’avez pas donné à boire.
(43) J’étais étranger, et vous ne m’avez pas recueilli ;
j’étais nu, et vous ne m’avez pas vêtu ;
j’étais malade et en prison, et vous ne m’avez pas visité. »
(44) Alors ils répondront, eux aussi :
« Seigneur, quand t’avons-nous vu avoir faim ou soif,
étranger, ou nu, ou malade, ou en prison,
sans nous mettre à ton service ?»
(45) Alors il leur répondra :
« Amen, je vous le dis, dans la mesure
où vous n’avez pas fait cela
pour l’un de ces plus petits,
c’est à moi que vous ne l’avez pas fait. »
(46) Et ceux-ci iront au châtiment éternel,
mais les justes, à la vie éternelle. ..

 

Le service diocésain de la Pastorale Liturgique et Sacramentelle vous propose de vous accompagner pour vivre la Liturgie de la Parole à la maison : « Vivre le dimanche en confinement »

 

Chers Paroissiens, Chers Amis,

Cette nouvelle période de confinement que nous traversons et d’interruption des célébrations dominicales prive notre Paroisse de revenus réguliers et importants générés par les quêtes.

Ces quêtes représentent 15% des revenus de la paroisse.

Même si nous sommes en chute très importante d’activités, les charges fixes demeurent (frais de fonctionnement, traitements des prêtres, salaires des employés…)

Il vous est possible de continuer à participer, à distance, à la vie économique de la paroisse via l’application « La Quête ». Cette application est à télécharger sur votre téléphone, votre tablette ou votre ordinateur. Elle est opérationnelle depuis deux ans maintenant et fonctionne de façon très satisfaisante et sécurisée.

www.appli-laquete.fr

 

Le Père Marc et le Conseil Economique

 

Au lendemain du confinement et de la Pentecôte, deux ans après sa nomination à la tête du diocèse de Nanterre, Mgr Matthieu Rougé, publie une lettre pastorale intitulée Un grand vent de liberté.

Datée du 1er juin 2020, quarantième anniversaire de la visite du Pape Jean-Paul II à Issy-lesMoulineaux (pour y rencontrer les évêques de France réunis au Séminaire Saint-Sulpice), cette lettre ouvre des perspectives missionnaires, à partir de l’expérience du confinement en particulier.

Elle se focalise sur trois dimensions de la vie de l’Eglise : la fraternité, l’intériorité et la créativité, tout en insistant aussi sur les vocations et la mission. Jalonnée par des séries de question, elle est destinée à favoriser la réflexion et l’engagement de toutes les forces vives de l’Eglise catholique dans les Hauts de Seine pour les mois qui viennent.
Découvrez La Lettre Pastorale.

« Père, glorifie ton Fils » (Jn 17, 1b-11a)
Alléluia. Alléluia.
Je ne vous laisserai pas orphelins, dit le Seigneur ;
je reviens vers vous, et votre cœur se réjouira.
Alléluia. (cf. Jn 14, 18 ; 16, 22)

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

En ce temps-là,
Jésus leva les yeux au ciel et dit :
« Père, l’heure est venue.
Glorifie ton Fils
afin que le Fils te glorifie.
Ainsi, comme tu lui as donné pouvoir sur tout être de chair,
il donnera la vie éternelle
à tous ceux que tu lui as donnés.
Or, la vie éternelle,
c’est qu’ils te connaissent, toi le seul vrai Dieu,
et celui que tu as envoyé,
Jésus Christ.
Moi, je t’ai glorifié sur la terre
en accomplissant l’œuvre que tu m’avais donnée à faire.
Et maintenant, glorifie-moi auprès de toi, Père,
de la gloire que j’avais auprès de toi avant que le monde existe.
J’ai manifesté ton nom
aux hommes que tu as pris dans le monde pour me les donner.
Ils étaient à toi, tu me les as donnés,
et ils ont gardé ta parole.
Maintenant, ils ont reconnu
que tout ce que tu m’as donné vient de toi,
car je leur ai donné les paroles que tu m’avais données :
ils les ont reçues,
ils ont vraiment reconnu que je suis sorti de toi,
et ils ont cru que tu m’as envoyé.

Moi, je prie pour eux ;
ce n’est pas pour le monde que je prie,
mais pour ceux que tu m’as donnés,
car ils sont à toi.
Tout ce qui est à moi est à toi,
et ce qui est à toi est à moi ;
et je suis glorifié en eux.
Désormais, je ne suis plus dans le monde ;
eux, ils sont dans le monde,
et moi, je viens vers toi. »

– Acclamons la Parole de Dieu.


Commentaire

En ce 7°Dimanche de Pâques situé entre l’Ascension de Jésus vers le Père et le don de l’Esprit Saint à la Pentecôte, nous sommes invités à rendre gloire à Dieu !

« Les Apôtres, après avoir vu Jésus s’en aller vers le ciel, retournèrent à Jérusalem ». (Première lecture) Ils observent les consignes que le Christ ressuscité leur a données : « Demeurez dans la ville jusqu’à ce que vous soyez revêtus d’une force venue d’en haut ». (Lc 24,49) Saint Luc indique que « tous, d’un même cœur, étaient assidus à la prière ». L’Evangéliste cite les noms des présents : ce sont les mêmes qui ont accompagné Jésus tout au long de Sa vie terrestre. Témoins de Sa Mort et de Sa Résurrection, ils vont pouvoir manifester la gloire de Dieu grâce à l’Esprit Saint.

Car Jésus envoyé par le Père pour le Salut du monde confie à Son Eglise la responsabilité de poursuivre Sa Mission. Mais le disciple n’est pas au-dessus du Maître, aussi Saint Pierre nous encourage-t-il : « Si l’on vous insulte pour le Nom du Christ, heureux êtes-vous, parce que l’Esprit de gloire, l’Esprit de Dieu, repose sur vous ! ». (Deuxième lecture)

L’évangile de ce Dimanche nous rapporte le début de la dernière prière de Jésus avec Ses disciples, avant Sa Passion. Souvent qualifiée de « sacerdotale » cette prière illustre plutôt la position de Jésus, le « Bon Berger », soucieux du bien-être de ses disciples.

« Père, l’Heure est venue. Glorifie Ton Fils afin que le Fils Te glorifie ». L’Heure, selon Saint Jean, est le moment où se reconnaît la plénitude du Mystère de Jésus Sauveur, dans une conjonction de la mort et la vie, l’abaissement et l’élévation, un total abandon et un don surabondant. Il s’agit de l’Heure de la Croix, englobant aussi bien l’évènement douloureux de la Passion que le récit lumineux de Pâques. La gloire – qui n’est pas la renommée mais le « poids » réel d’un être, selon l’étymologie du mot hébreu – c’est la révélation de l’Etre même de Dieu manifestée à travers la parfaite relation d’amour unissant le Père et le Fils. La prière de Jésus ouvre donc le récit de la Croix (Passion et Résurrection) et le qualifie comme l’Heure par excellence de la mutuelle révélation et glorification du Père et du Fils.

Puis Jésus prie pour les disciples que le Père lui a donnés, avec cette Parole inouïe : « Je suis glorifié en eux ». Si Dieu veut que tout homme soit sauvé, Il ne peut rien pour celui qui refuse d’être sauvé.

Le Fils de Dieu est bien notre unique Médiateur avec notre Père :

– Vrai homme, Jésus a pris sur Lui notre péché jusqu’à nous donner Sa Vie sur une Croix par amour pour nous et du Père dont Il a révélé « le Nom », l’identité de Son Etre : « Dieu est Amour ». (1Jn 4,8)

– Vrai Dieu, le Père l’a ressuscité avec « le pouvoir de donner la Vie éternelle ». Le verbe « donner » revient 10 fois dans notre Evangile, comme le dit Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus : « Aimer c’est tout donner et se donner soi-même ». Et la Vie éternelle « c’est qu’ils Te connaissent, Toi le seul vrai Dieu, et Celui que Tu as envoyé, Jésus Christ ». Car dans la Bible, la connaissance est plus qu’intellectuelle, elle est existentielle ; connaître Dieu c’est « naître avec Lui », renaître par la force de l’Esprit d’amour, se laisser aimer, façonner, diviniser par Dieu qui veut restaurer en nous « Son image et Sa ressemblance » que le péché avait déformé.

La Vie éternelle ou divine commence donc sur terre par la foi en Jésus, la Parole vivante de Dieu, « le Verbe fait chair » : « Celui qui mange Ma Chair et boit Mon Sang demeure en Moi et Moi en lui… Il a la vie éternelle et Moi Je le ressusciterai au dernier jour ». (Jn 6,51-58)

A la suite de Jésus prenons le temps de prier ! La Tradition chrétienne comprend trois expressions majeures de la vie de prière : (CEC n°2700-2724)

1) La prière vocale répond à notre nature humaine. Nous sommes corps et esprit, aussi nous éprouvons le besoin de traduire extérieurement nos sentiments. A l’exemple du Christ priant son Père et enseignant le Notre Père à ses disciples.

2) La méditation est une recherche priante qui met en œuvre la pensée, l’imagination, l’émotion, le désir. A partir de textes de la Bible, le plus souvent, l’esprit cherche à comprendre le pourquoi et le comment de la vie chrétienne, et il se confronte ainsi à la réalité de notre vie : « Seigneur, que veux-tu que je fasse ? »

3) L’oraison mentale « n’est à mon avis, qu’un commerce intime d’amitié où l’on s’entretient souvent seul à seul avec ce Dieu dont on se sait aimé ». (Sainte Thérèse de l’EJ) L’oraison est un regard de foi fixé sur Jésus, un silencieux amour. On ne fait pas oraison quand on a le temps : on prend le temps ! On ne peut pas toujours méditer, mais on peut toujours entrer en oraison, indépendamment des conditions de santé, de travail ou d’affectivité.

Rendons gloire à Dieu en persévérant sérieusement dans la prière : « Le combat de la prière est inséparable du ‘combat spirituel’ nécessaire pour agir habituellement selon l’Esprit du Christ car on prie comme on vit, parce qu’on vit comme on prie ». (CEC n°2753) Amen !

Père Patrice

Chers amis,

Comme vous le savez, nous avons maintenant l’autorisation de célébrer publiquement la messe avec la participation des fidèles. C’est une joie profonde de nous retrouver très bientôt.
Pour nous, cette joie commencera lundi 25 mai à 9h. La messe sera célébrée dans nos deux paroisses. Oui, vous l’avez bien compris, il n’y aura pas de messe célébrée avec assemblée ces 23 et 24 mai. Pourquoi ? Car nous voulons que les gestes barrière soient respectés. Mais nous nous retrouverons pour célébrer ensemble la fête de la Pentecôte.

Aussi à partir du lundi 25 mai, les messes reprennent avec le port du masque obligatoire dès l’âge de 11 ans, une distanciation physique d’un mètre minimum. A l’entrée des églises, vous vous désinfecterez les mains avec du gel hydroalcoolique. Les bénitiers seront vides, les portes des églises ouvertes et je vous invite à respecter la signalitique et les instructions des équipes d’accueil.
Comme durant tout le temps du confinement, l’adoration eucharistique et les confessions continuent. L’accueil des prêtres reprendra les mardi, jeudi et vendredi de 17h à 19h dans les deux paroisses.

Les messes en semaine seront célébrées du mardi au vendredi à 9h dans l’église. Les messes dominicales seront célébrées le samedi à 18h, le dimanche à 9h, 11h, 16h et 18h.
Afin d’accueillir au mieux et de respecter les gestes barrière, nous vous prions de bien vouloir vous inscrire pour la messe dominicale sur l’application La Messe
ou par téléphone au 01 41 10 05 92 du mercredi au vendredi de 10h à 12h.

La messe du 7ème dimanche de Pâques, ce dimanche 24 mai sera retransmise sur la chaîne Youtube des paroisses et sur les sites internet des paroisses.

Dans la joie de vous retrouver, nous aurons toujours besoin de personnes pour assurer l’accueil et l’accompagnement des flux de personnes dans notre église.
Soyez assurés de ma prière et de la joie de vous retrouver.

Père Marc

 

Neuvaine pour demander des vocations sacerdotales pour le diocèse de Nanterre, par l’intercession de l’Abbé Daniel Joëssel (1908-1940), vicaire à la paroisse Sainte-Geneviève à Asnières-Sur-Seine.

« Il offrit le sacrifice de sa vie pour le sacerdoce »

du 22 au 30 mai 2020 entre le jeudi de l’Ascension et la Pentecôte.