Jean-Paul II nous dit
N’oubliez pas les malades et les personnes âgées, ne les reléguez pas en marge de la société, car si vous agissez ainsi, vous ignorez ce qu’ils incarnent.
En effet, les malades et les vieillards, les personnes handicapés et infirmes nous enseignent que la faiblesse est une part créative de la vie humaine et que la souffrance peut être acceptée sans qu’on perde sa dignité.
S’il n’y avait pas les malades parmi vous, vous pourriez être tentés de considérer la santé, la force et le pouvoir comme les seules valeurs importantes dans la vie.
Mais la sagesse et la puissance du Christ sont visibles dans la faiblesse de ceux qui participent à ses souffrances.
Le sacrement de l’onction des malades
Si ce sacrement est aussi appelé « extrême onction », il est extrême comme un parfum peut être extrême (sublime). Il est donné aux fidèles en souffrance physique, psychique ou morale : maladie, vieillesse avancée, épreuve difficile, opération grave. (Il ne remplace pas les soins médicaux). Il est signe de la tendresse de Dieu pour la personne qui souffre. Il a comme effets : Le pardon, la paix et le courage pour supporter les souffrances, la vieillesse ou la vision de la mort en passage à la vie éternelle.
Découvrez le livret Le sacrement de l’onction des malades
Qui peut recevoir ce sacrement ?
Le sacrement des malades s’adresse à tous les fidèles dont la santé commence à être dangereusement atteinte par la maladie ou la vieillesse même si le pronostic vital n’est pas engagé. C’est un réconfort dans l’épreuve.
Ce sacrement peut être reçu plusieurs fois.
Comment se déroule ce sacrement ?
Le prêtre impose ses mains sur le malade et lui oint le front et les mains d’huile bénite, signe de force de vie. Le prêtre prie Dieu pour lui et le malade peut recevoir la communion ou participer à la célébration eucharistique.
« Quelqu’un parmi vous est-il malade, qu’il appelle les Anciens de l’Église et qu’ils prient sur lui, après lui avoir fait une onction d’huile au nom du Seigneur. Cette prière inspirée par la foi sauvera le malade ; le Seigneur le relèvera et, s’il a commis des péchés, il recevra le pardon.» Lettre de Jacques 5,14-15.
Si vous connaissez une personne susceptible de le recevoir, merci de lui en parler e de nous en parler …
Responsable : P. Patrice Pellen, 01 46 20 41 43 patricepellen1@gmail.com