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Retrouvez dans le blog les évènements passés à la paroisse Sainte Thérèse
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LES MARDIS DU CARÊME
C'est arrivé !, NouvellesSobriété … décomplexée !
Le carême va commencer !
Période d’entrainement, d’éveil, de restauration. Profitons de ces 40 jours non pour s’assécher dans les déserts de la culpabilisation, mais pour chercher l’eau vive.
Une de ces sources, c’est la vie sobre.
Ce sera le thème de nos 4 soirées de carême.
4 mardis avant la Semaine Sainte.
La tempérance, la chasteté, l’écologie, la sobriété du Verbe.
On se donne rendez-vous à 21h sur YouTube. Seuls, en couple, en équipe…
Le père Klasen fera à chaque fois un enseignement de 30 à 40 minutes qui ouvrira sur quelques questions « en studio ».
Les équipes 5/5, abbé-mousse-papas, END et autres pourront très bien enchainer sur une discussion entre eux dans la même soirée.
A bientôt dans la joie de vivre un heureux carême
Infos paroissiales au dimanche 6 mars 2022
C'est arrivé !, Feuilles paroissialesfeuille paroissiale du dimanche 6 mars 2022
Dimanche de la Parole
C'est arrivé !Dimanche de la Parole …
Quelques Vidéos « témoignages » pour entendre
comment des femmes et des hommes entendent la Parole et s’en nourrissent !
Or Encens Mirrhe
C'est arrivé !Les Mages enfin arrivés au pied de l’enfant avaient déballés leurs cadeaux, d’abord l’or, mais devant ce métal scintillant et éblouissant de mille feux, l’enfant avait été aveuglé et il s’était mis à hurler et rien n’avait pu l’arrêté. Il avait fallu remballer l’or et le cacher à ses yeux pour que Jésus retrouve son calme !
Alors, ils présentèrent l’encens, mais dès qu’on y mit le feu et qu’il répandit une fumée épaisse, l’enfant fut pris d’une forte toux et là encore, on eut beau lui taper dans le dos, le bercer, le bichonner, rien n’y fit. On eut cru, que toussant de plus en plus fort, il allait rendre l’âme. Il leur fallut alors éteindre l’encens et ranger ce dangereux cadeau.
Restait la myrrhe ; elle se présentait comme une gomme à mâcher. Un des mages en fit une petite boule pour la faire goûter à l’enfant. Il suça un moment la boule gélatineuse. Et là, il se produisit un étrange phénomène: l’enfant resta paralysé, bouche ouverte, respiration coupée, comme mort. Joseph qui veillait se précipita pour secouer l’enfant et lui faire cracher la boule de myrrhe. A peine né, voilà qu’il se trouvait déjà embaumé !… C’était trop tôt !… Dès qu’il eut craché la boule, Jésus reprit des couleurs et sa respiration habituelle. On pria alors les mages de remballer leurs cadeaux : ça na paraissait pas adapté à la situation : c’était trop clinquant, trop fumeux ou trop tôt !… Et c’est à cause de cela que les Mages “repartirent par un autre chemin…“ Mais on ne vous a jamais raconté la suite et quel fut cet autre chemin.
Le voici donc retrouvé sur de vieux parchemins redécouverts un jour de grand vent décoiffant dans les sables d’Egypte, il y a déjà quelques années.
Bien sûr, les Mages avaient bien pressenti qu’il ne fallait pas retourner voir Hérode ; ils prirent donc la tangente, et ils allaient errants, tout en essayant de comprendre pourquoi leurs cadeaux, pourtant préparés avec grand soin, s’étaient retrouvés totalement inadaptés à la situation. Quel autre chemin devaient-ils donc parcourir ? Pensant que cela réclamait une recherche personnelle, ils se séparèrent.
Celui qui avait apporté l’or se mit à le distribuer à ceux qu’ils rencontraient, mais il pensa que cela devait se faire dans un partage : il donnait certes, mais il cherchait aussi à recevoir, et pour cela, il commençait à écouter l’histoire de chacun.
Dans ces échanges, il s’aperçut que ce qu’il donnait – quelques pièces ou lingots d’or – était peu de choses à côté de ce qu’il recevait. Il s’enrichissait de toutes les expériences humaines qu’on lui confiait. Et chaque fois qu’il devenait plus pauvre, il se retrouvait enrichi. Vint jour où, ayant épuisé ses réserves, il se retrouva sans rien. Et face à une nouvelle demande, il s’écria : « D’or ou d’argent je n’en ai plus, mais ce que j’ai, je te le donne : j’ai appris de toutes mes rencontres que des richesses vivent au cœur de chacun. Alors, toi aussi, tu es pleine de capacités. Lève-toi et marche !… »
Il avait prononcé cela, sans l’avoir vraiment voulu, comme une réalité qu’il découvrait en la disant. Et il pensa que cette richesse intérieure devait être proclamée et faire école. Il ouvrit une échoppe nouvelle où chacun pouvait venir se nourrir ce qu’il possédait en lui, en le partageant et réciproquement. Ce fut un vrai bel endroit, un espace où chacun s’ouvrait à de multiples amis. Il le nomma : “ L’échoppe de la Fraternité“.
Le Mage qui avait apporté l’encens s’aperçut bien vite qu’il ne suffisait pas d’enfumer les autres pour les rendre heureux. Quand cela n’aboutissait pas à de tragiques allergies, ce n’était pas non plus l’assurance d’un grand bonheur. Certes, ils étaient encensés, certes cela flattait leur ego un moment, mais quand la fumée de l’encens s’estompait, ils se retrouvaient bien seuls !…
Cela l’amena à réfléchir : en fait nul n’avait besoin d’être encensé, mais bien plutôt d’être encouragé, et il se mit à porter un nouveau regard sur ceux qu’il côtoyait. Pour elles ou eux, il devint ambitieux : que leur demander pour qu’ils se dépassent, pour qu’ils mettent en jeu toutes leurs capacités ?
Il traduisit cette conviction toute nouvelle par de multiples appels, une manière de dire : “j’ai besoin de toi, les autres ont besoin de toi; en leur répondant, tu vas progresser toi-même, et ce n’est qu’un début !“
Il l’avait bien vu : l’encensement où l’on se complait risque de stopper tout développement, une fois auto-satisfait, dans un surplomb dangereux au dessus des autres. Seule la volonté de prendre sa place parmi les autres, avec toutes ses compétences, pouvait déboucher sur corps vivant où chacun vibre au rythme de l’ensemble.
Il ouvrit alors une sorte de consultation pour découvrir comment telle ou tel pouvait progresser, dans quel domaine et au service de qui. Pour cela, il reprit une vieille pratique découverte dans la Bible : il leur donnait un nouveau nom, comme un objectif à atteindre, se rappelant que Dieu avait changé le nom d’Abram (père prestigieux –encensé?-) en Abraham (père d’une multitude de peuples). Et il appela sa consultation : “la Taverne des nouveaux Noms“ ;
Le troisième Mage, le porteur de myrrhe, comprit qu’il devait avoir en lui-même un rapport difficile au temps : d’où lui venait cette préoccupation un peu maladive de vouloir embaumer les vivants, les figer dans un instant essentiel ou exceptionnel. Une fois embaumé, quel avenir pouvait-on alors espérer? Le culte du passé qu’il découvrait en lui l’étonna : pourquoi vouloir arrêter le temps ? N’y avait-il pas en lui une peur de l’avenir, une appréhension pour tenter d’autres aventures, pour prendre des risques ?
Ces réflexions le hantaient, tandis qu’il parcourait le désert allant d’oasis en points d’eau et la vue de ces immenses étendues désolées lui rappela une histoire de son enfance.
On se moquait souvent de son grand-père parce qu’il semait dans le désert. A quoi cela pouvait-il servir ? Mais, lui, obstiné continuait à y répandre les semences chaque année, sans résultats bien sûr. Jusqu’au jour où un gros orage fit tomber une pluie abondante. Alors le désert se couvrit de fleurs : quel spectacle !
Mais oui, se dit-il, voilà ce qu’il faut faire : semer dans le désert, à tous vents, avec l’espoir de voir germer un jour l’invraisemblable. Et pour fixer sa découverte et la faire partager, il planta quatre piquets, tendit dessus une vaste toile de tente. Il ajouta un calicot pour donner un nom à ce lieu : « Au semeur du désert » Et sur cette route, chacun pouvait s’y arrêter, s’y reposer à l’ombre, y goûter un grand verre d’eau fraîche, le temps de repartir vers de nouvelles aventures.
Bien des années plus tard, il arriva que les chemins des 3 mages se croisèrent à nouveau. Curieusement cette rencontre eut lieu dans un petit village qui s’était doté d’un mini-observatoire. Attablés à la buvette, ils évoquaient tout ce qui avait changé pour eux depuis la visite de la crèche et le “chemin autre“ qu’ils avaient découvert. … La nuit était tombée et le ciel se couvrait d’étoiles. Tout à leurs récits, ils ne pensaient plus au lieu où ils étaient. Un cri vint les arracher à leurs échanges : « Venez voir, exceptionnel, on dirait une nouvelle étoile. » Alors, complices, ils se regardèrent. « Une nouvelle étoile ?
Vous êtes surs ; je crois qu’il y a longtemps que nous la connaissons et qu’elle nous guide !…
Alain Patin
Les Migrants
C'est arrivé !Journée des Migrants : Caritas Europe s’élève contre les murs et la violence
Vatican News
Dans un tweet publié à l’occasion de cette Journée international des migrants, le Pape François appelle à regarder «dans les yeux les rejetés que nous rencontrons», à se laisser provoquer «par les visages des enfants, fils de migrants désespérés», à se laisser creuser intérieurement «par leur souffrance pour réagir à notre indifférence». Caritas Europe, de son côté, interpelle les gouvernants pour que les migrants ne soient plus perçus comme une menace mais comme «des êtres humains qui traversent les frontières pour différentes raisons – pour chercher une protection, travailler, étudier, retrouver des membres de leur famille». Des personnes qui «doivent être traitées avec dignité et non avec mépris».
Caritas Europe appelle ainsi à l’ouverture de routes sûres et régulières vers l’Europe et non à l’édification de murs plus hauts et à la violence. L’ONG pointe du doigt «les politiques de panique et de rejet» qui dominent et qui tuent trop souvent. Ce «moment particulièrement difficile en Europe» est caractérisé par «les naufrages mortels dans la Manche et la Méditerranée, les personnes utilisées comme des pions à la frontière avec le Bélarus et laissées à l’agonie dans les bois gelés aux portes de l’UE, les innombrables refoulements en Grèce et le long de la route des Balkans».
Ne pas affaiblir la législation sur les réfugiés
L’organisation caritative exhorte aussi les dirigeants européens à résister aux tentatives d’affaiblir la Convention sur les réfugiés, de légaliser les refoulements et d’introduire des dérogations au droit européen, ce dernier point ayant été récemment proposé par la Commission européenne en ce qui concerne la Pologne, la Lituanie et la Lettonie.
Caritas Europe rappelle également les mots que le Pape a prononcés le 5 décembre dernier à Lesbos : «Il est affligeant d’entendre des propositions visant à utiliser les fonds communs pour construire des murs et des barbelés comme solution. […] Pourtant, ce n’est pas en construisant des murs plus hauts que l’on résout les problèmes et que l’on améliore la coexistence, mais en unissant nos forces pour prendre soin des autres selon les possibilités concrètes de chacun et dans le respect de la loi, en donnant toujours la primauté à la valeur inaliénable de la vie de chaque être humain.»
Pour Caritas Europe, «il est urgent de surmonter la peur et d’accepter la mobilité humaine comme un phénomène naturel qui doit être facilité de manière organisée». Caritas insiste aussi sur la contribution positive de l’immigration aux sociétés.
Lesbos: le cri du Pape contre l’indifférence, signe d’un «naufrage de civilisation»
L’Année saint Joseph
C'est arrivé !L’Année saint Joseph, «un signe des temps» pour l’Église de France
Entretien réalisé par Claire Riobé – Cité du Vatican
«Un homme de l’ombre, de l’obéissance, de tendresse et un homme au courage créatif». Pour Arnaud Bouthéon, l’époux de la Vierge Marie est une figure «qui parle énormément au cœur des hommes, notamment ceux en situation de fragilité ou de vulnérabilité». Ce père de famille de 48 ans, co-fondateur du Congrès mission en France et investi dans différentes missions d’Église, témoigne avoir été nourri tout au long de l’année par Patris Corde, la lettre apostolique publiée par le Pape François en décembre 2020.
L’exhortation du Saint-Père, et ce qu’il nous transmet de l’héritage de Saint Joseph, ont résonné dans le parcours d’homme et de père chrétien d’Arnaud Bouthéon. «Saint Joseph m’a personnellement rejoint dans ces moments de doutes, de fragilité et même d’angoisse face à l’avenir», décrit-il. De Saint Joseph, la Bible ne nous a transmis jusqu’aujourd’hui aucune parole : Saint Joseph n’était pas un bavard, on ne connaît pas de mot de lui, mais c’était un homme qui s’est laissé bousculer et qui est allé de l’avant, qui a pris des décisions radicales (…).»
Un « signe des temps » pour l’Église de France
La publication de Patris Corde pour l’année 2020 a été un symbole particulièrement fort pour l’Église de France, considère Arnaud Bouthéon. «Je crois beaucoup aux signes des temps. Et sans beaucoup de bruits, l’Église, par la voix du Pape, nous envoie des messages qui de façon providentielle se télescopent avec les signes douloureux des temps (…). Je crois que c’est éminemment prospectif.» Cette année spéciale n’est ainsi que «le début de la découverte de cette figure universelle de Saint Joseph» pour les catholiques, insiste-t-il.
En France, l’invitation du Pape François à se consacrer au Saint patron a donné lieu à diverses initiatives, parmi lesquelles la Grande marche de Saint Joseph, premier pèlerinage national organisé cet été entre Paris et Cotignac. Accompagné d’un groupe d’amis, Arnaud Bouthéon s’est également saisi «de cette petite lettre magnifique» pour la diffuser massivement autour de lui, notamment auprès des 15 000 hommes participant chaque année aux pèlerinages de pères de famille, dans différents sanctuaires de France. Et s’il note une identification masculine autour de patron de la sainte famille, il a aussi «découvert cette année qu’il y avait beaucoup de jeunes femmes (…) qui se sont rapprochées de saint Joseph (…), qui est là pour consoler et donner la force d’espérer».
Modèle d’espérance sur le chemin de Noël
Bien que le temps de l’Avent soit traditionnellement placé sous le regard de Marie, Saint Joseph était, lui aussi, dans l’attente de la naissance du Christ. Dans notre chemin jusqu’à Noël, marqué pour le père de famille par «une période objectivement difficile pour l’Église de France, marquée par des doutes», le patron de la Sainte Famille apparait comme un modèle d’espérance réconfortant : «Dans la perspective de Noël, nous allons passer de l’ombre à la lumière (et) je trouve que saint Joseph nous rejoint dans ce cheminement à la bougie, où l’on ne sait pas trop où l’on va.»
La fin de l’année spéciale Saint Joseph, au milieu de ce temps d’Avent, nous invite ainsi à être tendu vers l’espérance, à l’image du charpentier qui a «permis de protéger l’enfant Jésus et l’a servi», dans l’assurance de la venue du Christ.
Pour le Pape, la pandémie doit faire naître de nouvelles solidarités
Sortie paroissiale – Visite du musée de la Renaissance à Ecouen
C'est arrivé !