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Accueil par des paroissiens
:
Du lundi au jeudi : de 10h à 12h et de 15h à 18h
Vendredi : de 10h à 12h et de 14h30 à 17h
Samedi : de 10h à 12h


Accueil-confessions par les prêtres
:
Du mardi au vendredi : de 17h à 19h
Samedi : de 10h à 12h
Pendant le carême : dimanche de 16h45 à 17h45

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Paroisse Sainte-Thérèse-de-l’Enfant-Jésus
62 rue de l’Ancienne Mairie
92100 Boulogne

Bus
126 – 160 – 175

Métro
Ligne 10 – Boulogne-Pont de Saint-Cloud
Ligne 9 – Marcel Sembat

Vélib
Face au 1 rue Le Corbusier

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HORAIRES

Messes – Dominicales : Samedi 18h Dimanche 9h30, 11h et 18h – En semaine : du lundi au samedi à 9h / mardi, jeudi et vendredi à 7h30

Messe du catéchisme : une fois par mois au cours de la messe de 11h

Liturgie de la Parole expliquée aux Enfants (de maternelle et primaire), au cours de la messe de 11h (hors vacances scolaires)

Laudes : Mardi à samedi, 8h35

Partager la Parole : Mercredi, 20h30

Le service diocésain de la Pastorale Liturgique et Sacramentelle vous propose de vous accompagner pour vivre la Liturgie de la Parole à la maison : « Liturgie de la Parole du Christ Roi » ainsi que « la Liturgie d’Emmaüs »

 

Ben oui, ces jours qui se ressemblent tous. On en oublie même quel jour de la semaine, nous sommes.
Prier en observant la beauté des choses… pas facile en ces jours maussades où rien ne se passe. Rendre grâce pour les gens que je rencontre, certes, mais je ne vois plus personne !
Bref, c’est le blues, pas la déprime, non, mais le temps passe, j’ai plus de temps qu’à l’habitude mais je n’arrive pas à faire ce que je pourrais faire…
Alors prier …

2 trucs
1 – Un air dans la tête
Vous savez, on écoute la radio pendant le petit déjeuner et un air de musique est diffusé, vous l’avez en tête pour la journée. Ou mieux, le chant de sortie de la messe de dimanche dernier vous revient en boucle.
Profitez de ça.
Chantez-vous une hymne entendue récemment, un chant de messe. Faites-le à tout moment. En allant faire les courses, en préparant la cuisine, pendant la pause entre deux réunions « zoomeuses ».
Ah zut, vous avez oublié les paroles ! Pourtant ce matin, vous les saviez par cœur. Pas grave, vous en créez de nouvelles à votre sauce. Dieu sait (c’est le cas de le dire) que tout le monde n’est pas grand poète ! vous tournez ces brefs instants en brèves prières.

2 – Relire son carnet d’adresse
Encore moins cérébral, mais là encore quelque chose de l’ordre de la mémoire. Mais « faire mémoire » cette fois. N’allez pas trop vite. Les noms défilent. Priez pour chacun. Rappelez-vous. Rendez grâce à Dieu si c’est plutôt un sourire. Intercédez si c’est plutôt un froncement de sourcil. Dégagez-le à la poubelle si c’est décidément trop mondain, et demandez pardon pour ça (et d’être mondain, et de dégager poubelle…) Priez pour chacun, ça ne veut pas dire forcément formuler une demande, mais évoquer son souvenir c’est mettre son souvenir dans l’évocation de Dieu que vous êtes en train de faire. C’est le poser là, aussi bêtement que vous l’êtes ; devant Dieu, enfin quelque part autour de Lui, vers Lui. Et si ça vous tente, puisque les liens sociaux, les contacts amicaux sont en vacances en ces temps, appelez-le. Votre contact, pas Dieu ! enfin tant que vous y êtes, Dieu aussi.

Vous allez me dire : bof, ce n’est pas vraiment prier, ça !
Certes. Qui pourra nous dire ce qu’est vraiment prier ??
Disons provisoirement que ça consiste juste à se laisser occuper par Dieu.

A bientôt dans la prière

P Bernard Klasen

Les Églises d’Orient l’appellent aussi « saint Martin le Miséricordieux ». Il est né en Pannonie, l’actuelle Hongrie, sur les frontières de l’empire romain où son père était en garnison. A 15 ans, il est soldat car la loi romaine obligeait les fils de soldats à s’enrôler dans l’armée. Il est muté en Gaule et c’est là, qu’à Amiens, il rencontre le pauvre grelottant à qui il donne son manteau  et dont il apprend durant la nuit que c’est le Christ qui lui a fait cette demande.

Il hésitait à devenir chrétien, il s’y décide enfin. Il quitte l’armée pour rejoindre saint Hilaire à Poitiers. Avec lui, il fonde le premier monastère des Gaules, à Ligugé, en Poitou.

C’est là qu’il sera enlevé par les habitants de Tours qui en font leur évêque. Mais l’ancien soldat devenu chrétien ne s’enfermera pas dans sa cité. Il évangélisera parcourant les campagnes jusqu’à sa mort, à Candes.

Moine-évêque missionnaire, Apôtre de la Gaule, Saint Martin est le premier saint à être vénéré sans avoir subi le martyre. Ses dernières paroles adressées à Dieu: (**) »Seigneur, en voilà assez de batailles que j’ai livrées pour toi. Je voudrais mon congé. Mais si tu veux que je serve encore sous ton étendard, j’oublierai mon grand âge. »
Martin, déjà de son vivant, eut un rayonnement immense qui se poursuit dans son culte après sa mort. De tous ses hauts faits, l’épisode du manteau donné au pauvre reste le plus éclatant, les membres du commissariat chargé de soutenir les militaires (nourriture, vêtement…) ne pouvaient trouver meilleur saint protecteur pour accomplir jusqu’au bout leur mission y compris en faveur du plus humble des soldats, comme s’il s’agissait du Christ.
…Martin conserve, dans son ministère d’évêque, la charité de sa première rencontre avec le Christ. Un jour qu’un pauvre entrait dans la sacristie de sa cathédrale au moment où il revêtait les habits pontificaux, Martin se défit de sa tunique et la lui offrit, au scandale de son pieux entourage…
– « c’est à l’occasion de ce trajet de retour que sur son chemin les arbres et les fleurs refleurirent malgré que ce ne fût pas le moment ce qui nous donna l’été de la saint Martin qui revient à chaque automne au moment souvent appelé par les médias l’été indien. »

 

En ce jour Prions pour demander de contempler en nos frères pauvres le Christ lui-même.

Et de le servir en servant nos frères et méditons l’Evangile pour répondre aux appels du Seigneur dans l’ordinaire de nos vies !

 

De l’Evangile selon Saint Matthieu – chapitre 25, versets 31 à 46

(31)“… Lorsque le Fils de l’homme viendra dans sa gloire,
avec tous les anges, il s’assiéra sur son trône glorieux.
(32) Toutes les nations seront rassemblées devant lui.

Il séparera les uns des autres
comme le berger sépare les moutons des chèvres :
(33) il mettra les moutons à sa droite et les chèvres à sa gauche.
(34) Alors le roi dira à ceux qui seront à sa droite :
« Venez, vous qui êtes bénis de mon Père ;
héritez le royaume qui a été préparé
pour vous depuis la fondation du monde.
(35) Car j’ai eu faim et vous m’avez donné à manger ;
j’ai eu soif et vous m’avez donné à boire ;
j’étais étranger et vous m’avez recueilli ;
(36) j’étais nu et vous m’avez vêtu ;
j’étais malade et vous m’avez visité ;
j’étais en prison et vous êtes venus me voir. »
(37) Alors les justes lui répondront :
« Seigneur,
quand t’avons-nous vu avoir faim,
et t’avons-nous donné à manger ?
ou avoir soif, et t’avons-nous donné à boire ?
(38) Quand t’avons-nous vu étranger,
et t’avons-nous recueilli ?
ou nu, et t’avons-nous vêtu ?
(39) Quand t’avons-nous vu malade,
ou en prison, et sommes-nous venus te voir ? »
(40) Et le roi leur répondra :
« Amen, je vous le dis, dans la mesure
où vous avez fait cela pour l’un de ces plus petits,
l’un de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait. »

(41) Ensuite il dira à ceux qui seront à sa gauche :
« Allez-vous-en loin de moi, maudits,
dans le feu éternel préparé pour le diable et pour ses anges.
(42) Car j’ai eu faim, et vous ne m’avez pas donné à manger ;
j’ai eu soif, et vous ne m’avez pas donné à boire.
(43) J’étais étranger, et vous ne m’avez pas recueilli ;
j’étais nu, et vous ne m’avez pas vêtu ;
j’étais malade et en prison, et vous ne m’avez pas visité. »
(44) Alors ils répondront, eux aussi :
« Seigneur, quand t’avons-nous vu avoir faim ou soif,
étranger, ou nu, ou malade, ou en prison,
sans nous mettre à ton service ?»
(45) Alors il leur répondra :
« Amen, je vous le dis, dans la mesure
où vous n’avez pas fait cela
pour l’un de ces plus petits,
c’est à moi que vous ne l’avez pas fait. »
(46) Et ceux-ci iront au châtiment éternel,
mais les justes, à la vie éternelle. ..

 

Le service diocésain de la Pastorale Liturgique et Sacramentelle vous propose de vous accompagner pour vivre la Liturgie de la Parole à la maison : « Liturgie de la Parole du Christ Roi » ainsi que « la Liturgie d’Emmaüs »

 

Ben oui, ces jours qui se ressemblent tous. On en oublie même quel jour de la semaine, nous sommes.
Prier en observant la beauté des choses… pas facile en ces jours maussades où rien ne se passe. Rendre grâce pour les gens que je rencontre, certes, mais je ne vois plus personne !
Bref, c’est le blues, pas la déprime, non, mais le temps passe, j’ai plus de temps qu’à l’habitude mais je n’arrive pas à faire ce que je pourrais faire…
Alors prier …

2 trucs
1 – Un air dans la tête
Vous savez, on écoute la radio pendant le petit déjeuner et un air de musique est diffusé, vous l’avez en tête pour la journée. Ou mieux, le chant de sortie de la messe de dimanche dernier vous revient en boucle.
Profitez de ça.
Chantez-vous une hymne entendue récemment, un chant de messe. Faites-le à tout moment. En allant faire les courses, en préparant la cuisine, pendant la pause entre deux réunions « zoomeuses ».
Ah zut, vous avez oublié les paroles ! Pourtant ce matin, vous les saviez par cœur. Pas grave, vous en créez de nouvelles à votre sauce. Dieu sait (c’est le cas de le dire) que tout le monde n’est pas grand poète ! vous tournez ces brefs instants en brèves prières.

2 – Relire son carnet d’adresse
Encore moins cérébral, mais là encore quelque chose de l’ordre de la mémoire. Mais « faire mémoire » cette fois. N’allez pas trop vite. Les noms défilent. Priez pour chacun. Rappelez-vous. Rendez grâce à Dieu si c’est plutôt un sourire. Intercédez si c’est plutôt un froncement de sourcil. Dégagez-le à la poubelle si c’est décidément trop mondain, et demandez pardon pour ça (et d’être mondain, et de dégager poubelle…) Priez pour chacun, ça ne veut pas dire forcément formuler une demande, mais évoquer son souvenir c’est mettre son souvenir dans l’évocation de Dieu que vous êtes en train de faire. C’est le poser là, aussi bêtement que vous l’êtes ; devant Dieu, enfin quelque part autour de Lui, vers Lui. Et si ça vous tente, puisque les liens sociaux, les contacts amicaux sont en vacances en ces temps, appelez-le. Votre contact, pas Dieu ! enfin tant que vous y êtes, Dieu aussi.

Vous allez me dire : bof, ce n’est pas vraiment prier, ça !
Certes. Qui pourra nous dire ce qu’est vraiment prier ??
Disons provisoirement que ça consiste juste à se laisser occuper par Dieu.

A bientôt dans la prière

P Bernard Klasen

Les Églises d’Orient l’appellent aussi « saint Martin le Miséricordieux ». Il est né en Pannonie, l’actuelle Hongrie, sur les frontières de l’empire romain où son père était en garnison. A 15 ans, il est soldat car la loi romaine obligeait les fils de soldats à s’enrôler dans l’armée. Il est muté en Gaule et c’est là, qu’à Amiens, il rencontre le pauvre grelottant à qui il donne son manteau  et dont il apprend durant la nuit que c’est le Christ qui lui a fait cette demande.

Il hésitait à devenir chrétien, il s’y décide enfin. Il quitte l’armée pour rejoindre saint Hilaire à Poitiers. Avec lui, il fonde le premier monastère des Gaules, à Ligugé, en Poitou.

C’est là qu’il sera enlevé par les habitants de Tours qui en font leur évêque. Mais l’ancien soldat devenu chrétien ne s’enfermera pas dans sa cité. Il évangélisera parcourant les campagnes jusqu’à sa mort, à Candes.

Moine-évêque missionnaire, Apôtre de la Gaule, Saint Martin est le premier saint à être vénéré sans avoir subi le martyre. Ses dernières paroles adressées à Dieu: (**) »Seigneur, en voilà assez de batailles que j’ai livrées pour toi. Je voudrais mon congé. Mais si tu veux que je serve encore sous ton étendard, j’oublierai mon grand âge. »
Martin, déjà de son vivant, eut un rayonnement immense qui se poursuit dans son culte après sa mort. De tous ses hauts faits, l’épisode du manteau donné au pauvre reste le plus éclatant, les membres du commissariat chargé de soutenir les militaires (nourriture, vêtement…) ne pouvaient trouver meilleur saint protecteur pour accomplir jusqu’au bout leur mission y compris en faveur du plus humble des soldats, comme s’il s’agissait du Christ.
…Martin conserve, dans son ministère d’évêque, la charité de sa première rencontre avec le Christ. Un jour qu’un pauvre entrait dans la sacristie de sa cathédrale au moment où il revêtait les habits pontificaux, Martin se défit de sa tunique et la lui offrit, au scandale de son pieux entourage…
– « c’est à l’occasion de ce trajet de retour que sur son chemin les arbres et les fleurs refleurirent malgré que ce ne fût pas le moment ce qui nous donna l’été de la saint Martin qui revient à chaque automne au moment souvent appelé par les médias l’été indien. »

 

En ce jour Prions pour demander de contempler en nos frères pauvres le Christ lui-même.

Et de le servir en servant nos frères et méditons l’Evangile pour répondre aux appels du Seigneur dans l’ordinaire de nos vies !

 

De l’Evangile selon Saint Matthieu – chapitre 25, versets 31 à 46

(31)“… Lorsque le Fils de l’homme viendra dans sa gloire,
avec tous les anges, il s’assiéra sur son trône glorieux.
(32) Toutes les nations seront rassemblées devant lui.

Il séparera les uns des autres
comme le berger sépare les moutons des chèvres :
(33) il mettra les moutons à sa droite et les chèvres à sa gauche.
(34) Alors le roi dira à ceux qui seront à sa droite :
« Venez, vous qui êtes bénis de mon Père ;
héritez le royaume qui a été préparé
pour vous depuis la fondation du monde.
(35) Car j’ai eu faim et vous m’avez donné à manger ;
j’ai eu soif et vous m’avez donné à boire ;
j’étais étranger et vous m’avez recueilli ;
(36) j’étais nu et vous m’avez vêtu ;
j’étais malade et vous m’avez visité ;
j’étais en prison et vous êtes venus me voir. »
(37) Alors les justes lui répondront :
« Seigneur,
quand t’avons-nous vu avoir faim,
et t’avons-nous donné à manger ?
ou avoir soif, et t’avons-nous donné à boire ?
(38) Quand t’avons-nous vu étranger,
et t’avons-nous recueilli ?
ou nu, et t’avons-nous vêtu ?
(39) Quand t’avons-nous vu malade,
ou en prison, et sommes-nous venus te voir ? »
(40) Et le roi leur répondra :
« Amen, je vous le dis, dans la mesure
où vous avez fait cela pour l’un de ces plus petits,
l’un de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait. »

(41) Ensuite il dira à ceux qui seront à sa gauche :
« Allez-vous-en loin de moi, maudits,
dans le feu éternel préparé pour le diable et pour ses anges.
(42) Car j’ai eu faim, et vous ne m’avez pas donné à manger ;
j’ai eu soif, et vous ne m’avez pas donné à boire.
(43) J’étais étranger, et vous ne m’avez pas recueilli ;
j’étais nu, et vous ne m’avez pas vêtu ;
j’étais malade et en prison, et vous ne m’avez pas visité. »
(44) Alors ils répondront, eux aussi :
« Seigneur, quand t’avons-nous vu avoir faim ou soif,
étranger, ou nu, ou malade, ou en prison,
sans nous mettre à ton service ?»
(45) Alors il leur répondra :
« Amen, je vous le dis, dans la mesure
où vous n’avez pas fait cela
pour l’un de ces plus petits,
c’est à moi que vous ne l’avez pas fait. »
(46) Et ceux-ci iront au châtiment éternel,
mais les justes, à la vie éternelle. ..