La contrition parfaite
OUI, ne remettons pas à demain notre conversion et laissons au Seigneur le bonheur de nous retrouver désireux de le suivre, comme dynamisé par lui qui au début du Carême faisait retentir cet appel : « Maintenant encore, dit le Seigneur, Revenez à moi de tout votre coeur » (Joël 2,12).
C’est cela aussi communier. Alors que nous souffrons de ne pas recevoir la Communion à la messe. Offrons à Dieu la joie de notre volonté de nous convertir, de revenir à lui de tout notre coeur.