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Accueil par des paroissiens
:
Du lundi au jeudi : de 10h à 12h et de 15h à 18h
Vendredi : de 10h à 12h et de 14h30 à 17h
Samedi : de 10h à 12h


Accueil-confessions par les prêtres
:
Du mardi au vendredi : de 17h à 19h
Samedi : de 10h à 12h
Pendant le carême : dimanche de 16h45 à 17h45

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Paroisse Sainte-Thérèse-de-l’Enfant-Jésus
62 rue de l’Ancienne Mairie
92100 Boulogne

Bus
126 – 160 – 175

Métro
Ligne 10 – Boulogne-Pont de Saint-Cloud
Ligne 9 – Marcel Sembat

Vélib
Face au 1 rue Le Corbusier

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HORAIRES

Messes – Dominicales : Samedi 18h Dimanche 9h30, 11h et 18h – En semaine : du lundi au samedi à 9h / mardi, jeudi et vendredi à 7h30

Messe du catéchisme : une fois par mois au cours de la messe de 11h

Liturgie de la Parole expliquée aux Enfants (de maternelle et primaire), au cours de la messe de 11h (hors vacances scolaires)

Laudes : Mardi à samedi, 8h35

Partager la Parole : Mercredi, 20h30

Chers amis,
En ces temps où il est difficile à cause de la crise sanitaire de vivre le sacrement de réconciliation, notre évêque nous invite à entrer dans la contrition parfaite.
OUI, ne remettons pas à demain notre conversion et laissons au Seigneur le bonheur de nous retrouver désireux de le suivre, comme dynamisé par lui qui au début du Carême faisait retentir cet appel : « Maintenant encore, dit le Seigneur, Revenez à moi de tout votre coeur » (Joël 2,12).
Oui, il s’agit bien de revenir au Seigneur en lui permettant d’être personnellement et communautairement perméable à ses appels. Désirer vivre la contrition véritable, c’est prendre résolument le cap de la vie en Dieu, cette vie de Dieu en nous, cette vie de nous en Dieu.
C’est cela aussi communier. Alors que nous souffrons de ne pas recevoir la Communion à la messe. Offrons à Dieu la joie de notre volonté de nous convertir, de revenir à lui de tout notre coeur.
Soyez assuré de ma prière.
Pere Marc

Nous continuons notre méditation sur le sacrement du baptême.
Après le texte de Christian Barthod sur l’aventure du baptême, je souhaite vous offrir ici en préambule d’une nouvelle méditation le texte qui orne le Baptistère du Latran et que nous devons à Sixte III.
Le Baptistère du Latran est réalisé sous sa première forme à la demande de Constantin 1er aux alentours de 312-313 sur la base d’un plan octogonal en brique, il est remanié par le pape Sixte III entre 432 et 440 qui y adjoint un narthex, un vestibule composé de deux absides et fait réaliser un baldaquin autour de la cuve baptismale.

Texte de Sixte III sur le baptême.

« C’est ici que jaillit ce peuple de noble lignée, voué au Ciel

Que l’Esprit engendre en ces eaux fécondées. 

C’est dans l’eau que Notre Mère l’Église, dans un accouchement virginal,

met au monde ceux qu’elle a conçus par l’œuvre de l’Esprit divin.

Vous qui êtes nés à cette source, vivez dans l’espérance du royaume des cieux.

Il faut renaître pour avoir la vie éternelle.

Voici la source de vie qui lave toute la terre,

et prend sa source aux plaies du Christ.

O pécheur, viens te plonger dans ce flot sacré et purificateur

Dont les ondes rajeuniront tout vieil homme qui s’y plonge.

Si, sous le poids du péché hérité ou de ton péché personnel,

tu tiens à l’innocence, lave-toi dans ces eaux.

Plus rien ne sépare ceux qui y sont renés. Ils sont devenus un, 

Grâce à une seule source baptismale, à un seul Esprit, à une seule Foi. 

Que personne ne craigne le nombre et la gravité de ses péchés :

Celui qui est rené de cette eau vive deviendra saint. « 

Apôtres d’apôtres

Par le baptême  les chrétiens sont appelés à la sainteté et à l’apostolat.

Ces vers sur le baptistère du Latran montrent bien que cette conscience était très aigüe aux origines du christianisme. Les premiers chrétiens. Ils vivaient à fond leur vocation chrétienne ; ils cherchaient sérieusement la perfection à laquelle ils étaient appelés de par le simple fait, sublime, du Baptême.

Intérieur de la cuve baptismale par immersion
Aux premiers siècles, les néophytes qui étaient baptisés grâce à une triple immersion, en l’honneur de la Très Sainte Trinité, dans la cuve du baptistère, portaient toute une semaine durant une tunique blanche, montrant ainsi qu’ils ne voulaient plus souiller par le péché leur âme, purifiée par les eaux de la régénération.

S’ils avaient le malheur de chuter, ils avaient recours, dans une douleur profonde, au sacrement de Pénitence. Toutefois, leur désir de sainteté était grand, leur lutte était loin d’être un combat négatif… Ils étaient heureux d’avoir trouvé la Vérité et le Bien, l’Amour de Dieu, et souhaitaient logiquement aller vers Dieu accompagnés du plus grand nombre possible : leurs parents, leurs amis, leurs voisins, leurs collègues… Ils ont annoncé l’Évangile dans la joie et le Seigneur leur a accordé beaucoup de fruit. Nous savons, cependant, combien il était souvent difficile de diffuser le message du salut, que cela coûta la vie à un grand nombre d’entre eux et que d’autres subirent de grandes épreuves. Ceci dit, ces obstacles n’arrêtèrent pas les premiers chrétiens : leur conduite reproduisit très souvent ce que Pierre et Jean avaient dit lorsqu’on voulait les faire taire : « nous ne pouvons pas, quant à nous, ne pas publier ce que nous avons vu et entendu » .

Aujourd’hui, comme hier, les baptisés sont concernés par ce travail : faire en sorte que le message du salut atteigne tous les hommes et se répande partout . De ce fait, en tant que chrétiens, nous tâchons de faire un apostolat personnel mais nous essayons aussi d’encourager nos amis à être à leur tour des apôtres s’engageant à cette merveilleuse tâche d’approcher les âmes du Christ.

Chacun de nous est invité à être un apôtre.

Le seigneur s’appuie sur chaque chrétien pour « que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité ». Il est donc pressant que tous les baptisés prennent conscience de leur vocation à la sainteté et à l’apostolat.  C’est ainsi qu’ils livreront leur bonheur à beaucoup d’autres et qu’ils seront eux-mêmes très heureux en comblant toutes les réalités humaines de sens chrétien et d’espérance :

Le baptême nous a faits porteurs de la parole du Christ, qui rassérène, qui enflamme et apaise les consciences blessées. Pour que le Seigneur agisse en nous et par nous, disons-lui que nous sommes prêts à vivre la mission tous les jours, tout en nous sachant faibles et inutiles, tout en ressentant le poids immense de nos misères et de notre pauvre faiblesse personnelle.

Nous sommes toutes et tous invités à lui redire que nous avons confiance en Lui, en son assistance, et au besoin contre toute espérance (Rm 4, 18) comme Abraham. 

Nous vivrons  ainsi avec un allant renouvelé et nous apprendrons aux hommes à réagir sereinement, dépourvus de haine, de méfiance, d’ignorance, d’incompréhension, de pessimisme, car tout est possible à Dieu .

Bonne méditation.

Pere Marc

 

Voici pour vous une simple prière afin de vivre la communion spirituelle. Continuons de nous porter les uns les autres et demandons au Seigneur la grâce de la communion spirituelle.

Pere Marc

Depuis la chapelle de la Maison Sainte-Marthe du Vatican, le pape a à nouveau invité les personnes qui ne peuvent pas recevoir la communion eucharistique du fait du confinement, ce lundi 30 mars 2020, à faire une « communion spirituelle », tandis que le Saint-Sacrement était exposé sur l’autel pour un moment d’adoration qui s’est achevé par la bénédiction du Saint-Sacrement.

Le pape François a dit, après avoir communié: « Les personnes qui ne peuvent faire la communion sacramentelle font maintenant la communion spirituelle ».

Puis il a fait, en italien cette prière du cardinal espagnol Rafael Merry del Val (1865-1930):

«Je me prosterne à tes pieds, ô mon Jésus,

et je t’offre le repentir de mon coeur contrit qui s’abîme dans son néant

en ta sainte présence.

Je t’adore dans le sacrement de ton amour, l’Eucharistie.

Je désire te recevoir dans la pauvre demeure que t’offre mon coeur ;

dans l’attente du bonheur de la communion sacramentelle,

je veux te posséder en esprit.

Viens à moi, ô mon Jésus, pour que je vienne à toi.

Puisse ton amour enflammer tout mon être pour la vie et pour la mort.

Je crois en toi, j’espère en toi, je t’aime. Ainsi soit-il.»

 

Chers amis,
En ces temps où il est difficile à cause de la crise sanitaire de vivre le sacrement de réconciliation, notre évêque nous invite à entrer dans la contrition parfaite.
OUI, ne remettons pas à demain notre conversion et laissons au Seigneur le bonheur de nous retrouver désireux de le suivre, comme dynamisé par lui qui au début du Carême faisait retentir cet appel : « Maintenant encore, dit le Seigneur, Revenez à moi de tout votre coeur » (Joël 2,12).
Oui, il s’agit bien de revenir au Seigneur en lui permettant d’être personnellement et communautairement perméable à ses appels. Désirer vivre la contrition véritable, c’est prendre résolument le cap de la vie en Dieu, cette vie de Dieu en nous, cette vie de nous en Dieu.
C’est cela aussi communier. Alors que nous souffrons de ne pas recevoir la Communion à la messe. Offrons à Dieu la joie de notre volonté de nous convertir, de revenir à lui de tout notre coeur.
Soyez assuré de ma prière.
Pere Marc

Nous continuons notre méditation sur le sacrement du baptême.
Après le texte de Christian Barthod sur l’aventure du baptême, je souhaite vous offrir ici en préambule d’une nouvelle méditation le texte qui orne le Baptistère du Latran et que nous devons à Sixte III.
Le Baptistère du Latran est réalisé sous sa première forme à la demande de Constantin 1er aux alentours de 312-313 sur la base d’un plan octogonal en brique, il est remanié par le pape Sixte III entre 432 et 440 qui y adjoint un narthex, un vestibule composé de deux absides et fait réaliser un baldaquin autour de la cuve baptismale.

Texte de Sixte III sur le baptême.

« C’est ici que jaillit ce peuple de noble lignée, voué au Ciel

Que l’Esprit engendre en ces eaux fécondées. 

C’est dans l’eau que Notre Mère l’Église, dans un accouchement virginal,

met au monde ceux qu’elle a conçus par l’œuvre de l’Esprit divin.

Vous qui êtes nés à cette source, vivez dans l’espérance du royaume des cieux.

Il faut renaître pour avoir la vie éternelle.

Voici la source de vie qui lave toute la terre,

et prend sa source aux plaies du Christ.

O pécheur, viens te plonger dans ce flot sacré et purificateur

Dont les ondes rajeuniront tout vieil homme qui s’y plonge.

Si, sous le poids du péché hérité ou de ton péché personnel,

tu tiens à l’innocence, lave-toi dans ces eaux.

Plus rien ne sépare ceux qui y sont renés. Ils sont devenus un, 

Grâce à une seule source baptismale, à un seul Esprit, à une seule Foi. 

Que personne ne craigne le nombre et la gravité de ses péchés :

Celui qui est rené de cette eau vive deviendra saint. « 

Apôtres d’apôtres

Par le baptême  les chrétiens sont appelés à la sainteté et à l’apostolat.

Ces vers sur le baptistère du Latran montrent bien que cette conscience était très aigüe aux origines du christianisme. Les premiers chrétiens. Ils vivaient à fond leur vocation chrétienne ; ils cherchaient sérieusement la perfection à laquelle ils étaient appelés de par le simple fait, sublime, du Baptême.

Intérieur de la cuve baptismale par immersion
Aux premiers siècles, les néophytes qui étaient baptisés grâce à une triple immersion, en l’honneur de la Très Sainte Trinité, dans la cuve du baptistère, portaient toute une semaine durant une tunique blanche, montrant ainsi qu’ils ne voulaient plus souiller par le péché leur âme, purifiée par les eaux de la régénération.

S’ils avaient le malheur de chuter, ils avaient recours, dans une douleur profonde, au sacrement de Pénitence. Toutefois, leur désir de sainteté était grand, leur lutte était loin d’être un combat négatif… Ils étaient heureux d’avoir trouvé la Vérité et le Bien, l’Amour de Dieu, et souhaitaient logiquement aller vers Dieu accompagnés du plus grand nombre possible : leurs parents, leurs amis, leurs voisins, leurs collègues… Ils ont annoncé l’Évangile dans la joie et le Seigneur leur a accordé beaucoup de fruit. Nous savons, cependant, combien il était souvent difficile de diffuser le message du salut, que cela coûta la vie à un grand nombre d’entre eux et que d’autres subirent de grandes épreuves. Ceci dit, ces obstacles n’arrêtèrent pas les premiers chrétiens : leur conduite reproduisit très souvent ce que Pierre et Jean avaient dit lorsqu’on voulait les faire taire : « nous ne pouvons pas, quant à nous, ne pas publier ce que nous avons vu et entendu » .

Aujourd’hui, comme hier, les baptisés sont concernés par ce travail : faire en sorte que le message du salut atteigne tous les hommes et se répande partout . De ce fait, en tant que chrétiens, nous tâchons de faire un apostolat personnel mais nous essayons aussi d’encourager nos amis à être à leur tour des apôtres s’engageant à cette merveilleuse tâche d’approcher les âmes du Christ.

Chacun de nous est invité à être un apôtre.

Le seigneur s’appuie sur chaque chrétien pour « que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité ». Il est donc pressant que tous les baptisés prennent conscience de leur vocation à la sainteté et à l’apostolat.  C’est ainsi qu’ils livreront leur bonheur à beaucoup d’autres et qu’ils seront eux-mêmes très heureux en comblant toutes les réalités humaines de sens chrétien et d’espérance :

Le baptême nous a faits porteurs de la parole du Christ, qui rassérène, qui enflamme et apaise les consciences blessées. Pour que le Seigneur agisse en nous et par nous, disons-lui que nous sommes prêts à vivre la mission tous les jours, tout en nous sachant faibles et inutiles, tout en ressentant le poids immense de nos misères et de notre pauvre faiblesse personnelle.

Nous sommes toutes et tous invités à lui redire que nous avons confiance en Lui, en son assistance, et au besoin contre toute espérance (Rm 4, 18) comme Abraham. 

Nous vivrons  ainsi avec un allant renouvelé et nous apprendrons aux hommes à réagir sereinement, dépourvus de haine, de méfiance, d’ignorance, d’incompréhension, de pessimisme, car tout est possible à Dieu .

Bonne méditation.

Pere Marc

 

Voici pour vous une simple prière afin de vivre la communion spirituelle. Continuons de nous porter les uns les autres et demandons au Seigneur la grâce de la communion spirituelle.

Pere Marc

Depuis la chapelle de la Maison Sainte-Marthe du Vatican, le pape a à nouveau invité les personnes qui ne peuvent pas recevoir la communion eucharistique du fait du confinement, ce lundi 30 mars 2020, à faire une « communion spirituelle », tandis que le Saint-Sacrement était exposé sur l’autel pour un moment d’adoration qui s’est achevé par la bénédiction du Saint-Sacrement.

Le pape François a dit, après avoir communié: « Les personnes qui ne peuvent faire la communion sacramentelle font maintenant la communion spirituelle ».

Puis il a fait, en italien cette prière du cardinal espagnol Rafael Merry del Val (1865-1930):

«Je me prosterne à tes pieds, ô mon Jésus,

et je t’offre le repentir de mon coeur contrit qui s’abîme dans son néant

en ta sainte présence.

Je t’adore dans le sacrement de ton amour, l’Eucharistie.

Je désire te recevoir dans la pauvre demeure que t’offre mon coeur ;

dans l’attente du bonheur de la communion sacramentelle,

je veux te posséder en esprit.

Viens à moi, ô mon Jésus, pour que je vienne à toi.

Puisse ton amour enflammer tout mon être pour la vie et pour la mort.

Je crois en toi, j’espère en toi, je t’aime. Ainsi soit-il.»